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20 juillet 2010         Ferme "Au Petit Colibri "                                       -    Charente   -  
Agriculture naturelle (du japonais Fukuoka) et conception permaculturelle (permaculture).


 
- Activités de la ferme AU PETIT COLIBRI (Résultats expérimentaux) -
 
 
- Le mot de la fin -

Si les résultats techniques exposées ici vous aident, aidez moi à les financer, j'en ai besoin !!! C'est ici.
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Activités de la ferme AU PETIT COLIBRI (et Résultats expérimentaux)


Beaucoup de choses se passent bien  :-). Je donne maintenant des stages de culture sur buttes sur le terrain du colibri.

Remise en culture
J'ai pu remettre en culture comme prévu, avec Cécile, une série de buttes d'un nouveau type mis au point en 2009. Cela donne un peu plus de 100 m² de culture avec des buttes de 1m70 de large. Je revends donc ponctuellement des légumes, fruits et plantes aromatiques. C'est peu mais c'est symbolique (!!) après un arrêt dans l'épuisement morale et physique de mai 2008 ... Voici les productions et les modalités de vente pour ceux qui le souhaitent.
         
           
           jeunes luzernes - oignons - salades     Tomate en cage - soucis               Repousses de luzerne (tous les 50cm)
           - ligne de navets - ligne de fèves         ligne de carottes - salades             après première coupe

     
                               Féves                                Pelletage de la terre de surface              

Terre de surface :

Vous voyez Marieke en pleine effort pelletant la terre de surface pour la remettre sur le dessus de la butte. Cette terre de surface est la couche de terre de 2 à 3 cm de profondeur raclée sur l'ensemble de la surface de la future butte et de la future allée. Elle est réservée en bout de chantier. Puis elle est remise sur le dessus une fois l'allée pelletée. Cet effort vise à préserver une partie des qualités de cette terre riche en humus et une partie de ses êtres vivants, au lieu d'enfouir le tout sous la masse de terre venant de l'allée)

Matériau pour les bords :

Objectifs :  * 5 à 10 ans avant changement    et    * faible coût
Matériaux testés : gros bambou, dosse épaisse (4cm) de pin, contre-dosse de chêne.

Des résultats très prometteurs :

  • 1- l'ergonomie des buttes récompense bien l'effort conséquent de pelletage et de mise en place avec notamment différentes positions possible devant et sur la butte (la butte possède un rondin de bois créant un repose-genoux/repose-pied permettant d'accéder de façon ergonomique au centre d'une butte de 1m70 de large - photo N°2) :
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  •                   jambe repliée sur planche                              assis sur planche         genoux sur repose-genoux
  •  
  •     à genoux dans l'allé        pour cultures grimpantes          jambe tendue              pied sur repose-genoux
  • 2- la grande largeur des buttes (1m70) permet un usage plus souple et plus pratique de l'espace pour l'organisation des cultures, la gestion des déchets de cultures, la place pour les soucis, oeillet et plants aromatiques, et permet également un gain de place de 30% par rapport à une butte de 1m20 de large. Chaque butte possède une même structure en 5 bandes principales de cultures. Chaque butte fait partie d'un système de rotation simplifié : j'ai ajouté des schémas spécifiques à cette butte à la fin du  document d'autoformation qui commence avec un exposé des buttes de 1m20 de large. 
  • Ce document est fourni en version papier lors des stages avec d'éventuelles modifications et pour fournir une impression couleur de très bonne qualité (parfois un peu difficile de l'imprimer chez nous)

  • 3- le fractionnement de l'arrosage en 2 temps courts de 5 min, un le matin et un le soir, suffit à arroser alors que le sol est encore incapable de retenir l'humidité (très sableux, peu d'humus), ce qui toutefois n'enlève pas l'utilité de la pluie.... Soit entre 100 et 200L par jour pour 100m², sauf pluie abondante (au jugé, au moins 6 millimètres de pluie). Toutefois cela n'est pas suffisant pour faire face à des grandes chaleurs prolongées, la pluie est la bien venue, sinon il faut augmenter les temps d'arrosage.
  • 4- UNE PETITE REVOLUTION : le semis de surface est maintenant au point pour la plus part des légumes et apporte des taux de germination inégalés pour le panais, la carotte, ... Je suis vraiment très heureux de ces résultats qui m'ont demandé 4 années d'essais :-) . Du coup la mise en culture est à la fois plus sécurisée et bien plus rapide. L'arrêt du labour de la butte rendait le semis en sillon pénible puisque la terre était difficile à ouvrir du fait de sa restructuration (bien qu'elle soit mirco-aérée).
  • Lors du stages de culture sur buttes les participants s'entraînent à cette technique.
 
                    Carotte                               Carotte développée                         Epinard


                       Mâche                             Mâche vue de près          Ligne de navets devant fève


     Jeunes panais (à éclaircir)       Panais développés (laissés dense pour produire de petites racines,
                                                        récolte plus facile... et du coup moins perturbante pour le sol)

J'ai aussi réussi : poireau, oignon, radis (tous), persil.


Le semis de surface développée demande les critères suivants :
  1. 2cm maximum de couverture de sol
  2. Pré-germination poussée des graines (on garde les graines après trempage dans un bocal fermé jusqu'au point de non retour de leur germination  : l'apparition des premiers germes sonne le départ pour le semis)
  3. Réduire au minimum la différence de température entre le local de pré-germination et le futur lieu de semis : si le lieu de semis est bcp plus froid, la germination des graines sera d'autant ralentie alors même qu'elle était prête à se faire dans le bocal de pré-germination.
  4. Une séparation des petites graines (collées les unes aux autres du fait de l'humidité suite au trempage) à l'aide de l'argile en poudre : ne pas avoir peur de frotter entre les mains le paquet de graines mélangés avec de l'argile en poudre. Cela va permettre aux graines (la plus part n'ont bien sûr pas encore germé) d'être séparées. Notez bien qu'on ne cherche pas ici à réaliser un enrobage bien que les graines s'entourent légèrement d'argile. Cet agrile aura un autre bien fait, celui de permettre de mieux voir la graine lors du semis
  5. Le semis se fait par le dessus de la couverture si celle-ci est déjà en place. De ce fait la couverture doit absolument être sèche pour permettre aux graines de descendre à travers : c'est au moment où nous chahutons la couverture avec la main que les graines finissent de la traverser.
  6. Assurer l'humidité ambiante (pas besoin "d'arroser" la terre) pendant la période précédent l'implantation de la jeune graine. Une fois l'enracinement démarré, l'arrosage devient nécessaire pour que la plantule trouve l'humidité dans le sol
Grâce à la pré-germination poussée, la période "sensible" d'assèchement de la graine, sous les 2cm de couverture, est réduit. Le semis s'en trouve plus sécurisé.

                  Graines séparées par l'argile en poudre, ici après passage au tamis qui a  enlevé l'argile en poudre en excès. Les graines sont prêtes à être semées.

  • 5 - le BREFT "Bois Raméal En Fins Tronçons": les essais de remplacement de la paille par des rameaux fins (max 1cm de diamètre), se poursuivent et donnent des premiers résultats prometteurs. Il ne s'agit pas de BRF (Bois Raméal Fragmenté) mais de petits tronçons de 10 cm de longueur maximum réalisés avec des rameaux de bois (saule, noisetier, vigne, ...) ou d'herbes sèches (myscanthus, roseaux, paille de lavande, de menthe, ...). Parmi les bois, la vigne est apparue comme la plus difficile à couper car elle ne produit pas de brins bien droits et elle est plus dure que les autres bois.
Après maintes discussions avec mon entourage, voici le nom définitif de ce type de couverture à rameaux :
> le BREFT  pour "Bois Raméal En Fins Tronçons"

J'ai souhaitais développé un système de découpe manuel. L'état d'avancement de ce système donne actuellement est banc de scie pour fagots avec deux modèles : le petit convient pour produire suffisamment de rameaux durant l'hiver pour un jardin jusqu'à 20m² de butte. Le second convient pour un jardin jusqu'à 100m². Maintenant il me faut dépasser ce stage afin de rendre cet outil pratique pour une surface de 500m².

         
          BREFT : mélange de roseau, et de paille       BREFT : mélange de vigne et de paille de lavande
          de lavande

         
                  Système simple de découpe, pratique jusqu'à 20m² de jardin                   Ici jusqu'à 100m² de jardin

          Butte totalement recourvete de 2cm de BREFT

Les intérêts de la technique de couverture de sol avec le BREFT sont les suivants :
  1. Garder une épaisseur de couverture de 2cm maximum sur une année sans renouvèlement durant l'année. Cette épaisseur étant nécessaire à la réussite du semis de surface qui donne une rapidité de mise en culture exceptionnelle. La même épaisseur réalisée avec de la paille demande 2 à 3 renouvèlement par an. Renouvèlement rendu difficile dès le début par le fait que la petitesse des jeunes plantules qui se sont développés rend l'opération délicate.
  2. Remplace la paille devrait rester dans le champ qui l'a produite. Au contraire un arbre, prenons l'exemple d'un saule, peut être coupé chaque année sans générer de trouble de fertilité sur plusieurs années. Notez que la récolte se faisant l'hiver, les feuilles de l'arbre sont laissées au sol. Toutefois il est sans doute prudent de réfléchir à une association entre des grands arbres taillés tous les 5 à 10 ans pour produire de la matière nourricière sur le sol des arbres producteurs de BREFT. Ces grands arbres dont le développement n'est pas gêné pendant une plus longue période pourront aller chercher plus en profondeur des minéraux dans la roche mère. Les arbres producteurs de BREFT auront probablement du mal à descendre en profondeur du fait de le coupe (recépage) chaque année. Le frêne, le hêtre semblent être de bons candidat pour cet usage de grands arbres "pompes à minéraux en grande profondeur".
  3. L'arbre ne demande pas d'effort de remise en culture comme le demande la paille. Il est vivace.
  4. De petites lignes d'arbres à BREFT peuvent être installées très proche des cultures en tant que haie temporaire basse et décorative. Il y a donc ici un effet de proximité que ne permet pas la paille avec ses grandes surfaces. On peut espérer par une organisation judicieuse de l'espace, une réduction considérable du temps et de l'effort de transport du matériaux recherché pour la couverture de nos cultures.
  5. Les arbres ou grandes plantes (rosaux, myscanthus géant) sont sélectionnées et conduits pour maximiser l'usage de l'espace. On cherche à atteindre des hauteurs de 2 à 4 mètres de haut. De ce fait on réduit la surface nécessaire à la production de la couverture de sol par rapport à la paille qui demande environ 5 fois la surface de culture couverte par an.
  6. La récolte du BREFT se fait l'hiver tandis que la paille se fait l'été en pleine chaleur.
  7. La couleur sombre facilite certaines récoltes. La couleur des tiges sèches d'oignons, d'échalotes, d'ail se confond avec celle de la paille rendant pénible leur recherche au moment de la récolte.
  8. Le BREFT contient bcp plus d'azote et d'eau que la paille qui arrive sèche et pauvre en azote.
  9. Par ailleurs, il me semble que les rameaux fins sont si tendres et si riches en nourriture assimilables qu'ils pourraient être la base d'une stimulation plus intense de la vie du sol que ne le permet la paille.
  10. Le BREFT garde aussi l'humidité même si l'effet est moins important que 10 cm de paille. 2cm de BREFT me semble avoir l'effet de 5cm de paille environ.
  11. Il maintient une meilleure aération pendant toute l'année : voilà une bonne différence avec la paille qui pour moi possède cet inconvénient de finir par se resserrer par l'effet de tassement de la pluie. Or l'aération permet un meilleur réchauffement du sol au début du printemps et une meilleure alimentation en oxygène de la vue du sol. J'ai vraiment eu l'impression que la paille pose problème.
  12. Le BREFT capte mieux la chaleur au printemps que la paille grâce à sa couleur foncée et à la circulation de l'aire facilité, ce qui est important à cette époque.
Inconvénients du BREFT :

  1. Les arbres ou grandes plantes pour le BREFT demandent une période "de libre pousse" d'au moins 3 années avant de permettre une première récolte. Pendant cette période la paille est encore utilisée.
  2. La découpe manuelle ne convient qu'à de petites surfaces (je vise 500 m², en usage très productifs), ensuite il faut sans doute passer à une production avec machine.
  3. Manque de recul d'expérience pour le moment. Y aura - t-il à terme un phénomène négatif sur le sol ?

  • 6 - Résultats du semis à la volée de céréale, vesce et féverolle avec le rouleau : le semis de vesce réalisé début oct est splendide, les suivants réalisés 15 jours et 1 mois après sont d'autant moin hauts. Le premier semis valide l'utilisation de la vesce comme engrais vert d'hiver capable de prendre le dessus sur les herbes de printemps. Par conséquent elle est un bon candidat pour reprendre sans labour une surface enherbée et y faire à la suite, l'été suivant ou l'automne suivant, un semis de céréale. 
           
                        Vesce en hiver                            Vesce début de printemps           Vesce en fleur 40 à 50cm de haut
  • Les céréales semées tardivement mi-octobre et début janvier lors du redoux, ont germés, se sont implantées mais ont bcp souffert du froid, ce qui était prévisible. Si bien qu'après un très bon taux de germination et d'implantation une très grosse portion est mort de froid. Ceci dit cela permet de valider le procédé de semis que je testais, à savoir : pré-germination des graines + semis dans résidus non couchés de culture précédentes ou d'herbes + roulage par le quatrième prototype de rouleau (voir la vidéo d'octobre qui détaille le semis et les premiers résultats avant l'entrée dans l'hiver très froid...). Dans la vidéo je me demandais si la féverolle tiendrait face au froid, étant semée en surface et très tradivement. L'hiver fut l'un des plus froids que j'ai eu depuis 6 ans que je suis en Charente, atteingant les -13°C avec des périodes prolongées à - 10°C et deux périodes avec 5cm de neige. Et bien elle a survécue ! Ceci est réellement très prometteur ! Le rendement des pieds de féverolles est faible mais on ne leur en voudra pas vu ce qu'ils ont subit...
                      
          Les céréales semées très tardivement            La féverolle également semées tardivement
  •  Les leçons de toutes ces expériences d'automne/hiver 2009 est que le semis de surface avec rouleau progresse ! Il faut maintenant semer plus tôt ! La grande difficulté réside dans l'absence de pluie à mesure que l'on remonte dans les semaines vers l'été. Un système d'arrosage, temporaire bien sûr, pourrait permettre de fiabiliser la technique. J'avais pour cela déjà évoqué les tests du buses modernes (I-WOB et Nutator) capable de recréer la pluie sur 8 m de diamètre (buse placée à 1m20 de haut) avec seulement 0,4 bars de pression. Mais je n'ai toujours pas réussi à créer 0,4 bars... je manque de moyens financiers. (vos dons sont les bien venus si vous voulez m'aider... :-) ).
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  •      Herbes sèches assez dense                 Type d'herbe                   Roulage de luzerne, elle se relèvera
  •                                                                                                       alors que le petit rouleau N°3, plus petit et
  •                                                                                                       plus lourd, permettait qu'elle reste couchée,
  •                                                                                                       stimulant sa repousse comme une fauche.

  • Important : Notez que la technique de ce rouleau n'est pas encore finalisée. Pour rouler de la vesce sèche il est parfait, à condition que l'on accepte que les graines restent au sol...(et elles se ressèment asse bien chez moi durant l'automne).  Pour les herbes sèches et dures le rouleau actuel est suffisant à condition d'accepter de faire revenir le rouleau en arrière : 2 pas en avant puis 2 pas en arrière car c'est au retour qu'il termine de casser les herbes ! C'est donc un peu trop long à faire... Quant aux herbes sèches, elles se relèvent après quelques jours... Comme montré sur la vidéo, il est donc prévu de l'alourdir avec des poids sur les cotés. Ceci dit la vesce est peut-être la solution, je travaille donc aussi à développer un système de culture avec vesce.
  • L'utilisation d'un âne permettrait d'alourdir le rouleau. Pour l'heure je n'ai pas cette possibilité.
  • 7 - Du coté des fruitiers :
Pour résumé :
J'ai pu récolter mes premières cerises.
Les pêches produisent pour la seconde années consécutives.
Il y a de plus en plus de cassis.
La vigne pousse bien cette année.


Une couverture de sol très efficace pour mon sol sableux :
J'ai tenté cet hiver une couverture au pied des fruitiers, réalisée avec des fagots de jeunes pousses de frênes répartis sur 2m de diamètre et 10cm d'épaisseur au pied des arbres puis recouvert de 5 à 10 cm de paille. Les résultats dépassent mes espérances : les fruitiers ont repris une belle vigueur. Mes pruniers dont les feuilles jaunâtres indiquaient soit un problème de nourriture, soit un problème d'eau (mon sol est très sableux) sont cette année magnifiques. Ils reprennent une belle couleur verte et reprennent leur croissance de plus belle.



plus de détails sur les résulats des fruitiers


  • 8 - Première récolte de miel fin juin 2010, une réussite !
  • Pas besoin d'extracteur : J'ai constaté qu'il n'y en avait pas besoin comme me l'avait appris un article dans la revue de l'association sarthoise (72) L'ESCAMPE : Entasser les rayons dans une bassine à trou grossier, les écraser légèrement avec une spatule en bois et laisser couler le miel qui sortant de la bassine passe alors au travers d'un tamis fin (en fait j'ai pas voulu trouer ma bassine, alors j'ai versé le contenu en plusieurs fois dans une passoir qui reposait sur un tamis qui lui même reposait sur un seau). Ceci fonctionne si on opère de suite alors que le miel est encore tout chaud, proche de la température de la ruche. J'ai récolté 11Kg sur une seule hausse.

  • Les plaques de cire ne semblent pas nécessaires : J'avais installé deux hausses, la première en 2008 avec des plaques de cires, la seconde en 2009 sans aucune plaque de cire sur les cadres. Au début du printemps les abeilles avaient tout juste commencé à construire dans la seconde (la plus haute). La hausse était pleine fin juin 2010, sans avoir eu de plaques de cire appliquées aux cadres.

  • J'ai choisis de ne pas récolter la première hausse, également pleine, en pensant que cela assurait aux abeilles un bonne quantité de miel toujours à disposition. Cela me gênait un peu de tout leur prendre... même s'il y a aussi du miel dans le corps de ruche avec l'essain.
  • J'ai remis la seconde hausse. Je verrais fin septembre/début octobre si je peux faire une seconde récolte !


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Le mot de la fin

Ainsi se termine cette lettre info de l'été 2010.

En ce qui me concerne, depuis une année j'ai pu constater des évolutions importante à la fois sur le plan techiques et sur le plan intérieur. J'aime croire qu'il s'agit là d'un renouveau :-) qui m'accompagne vers une sortie du conflit avec la mairie:-).

Avant de nous quitter je voulais vous partager une petite astuce mise au point avec Marieke pour améliorer la production d'électricité de mon panneau photovoltaique : lorsque je suis chez moi je peux me rendre disponible quelques minutes 2 fois par jour pour réorienter mon panneau face au soleil. Restait à fabriquer un support pratique, le voici en photo :

                     

Je vous souhaite à tous un bel été et de la confiance dans les démarches qui vous tiennent à coeur.


Richard Wallner

Coopération :

Je livre gratuitement mes résultats de recherche sur internet ainsi que des documents pédagogiques que je crées, parce que j'aime partager et parce qu'il me semble que nous avons tous besoin que l'information circule. Si toutefois vous avez la possibilité de m'aider par un don, cette forme d'échange sera pour moi le signe d'un équilibre et la possibilité de mieux poursuivre cette diffusion d'information. Les dons sont possibles soit auprès de mon association, soit directement à mon nom (mes coordonnées). L'achat des DVD pédagogiques est aussi un bon moyen d'échange :-).  Il y a d'autres propositions financières et non financières listées ici.